La ville intelligente est d’abord une ville qui sert l’intérêt de tous les citoyens ; qui les assiste dans leurs déplacements tout en réduisant au minimum sa propre empreinte environnementale.
La nuit, elle sait éclairer juste la bonne quantité, elle sait aussi gérer ses feux de signalisation en fonction de la quantité de piétons, de vélos et d’auto. Elle optimise le stationnement.
Pour accompagner au mieux les humains, les systèmes intelligents doivent comprendre leurs besoins et intéragir aussi naturellement que possible. Ils doivent être au plus près de l’usager sans être intrusifs, sans utiliser son smartphone pour tracer ses activités personnelles. La ville intelligente n’est pas construite au nom de la ville connectée, de la vidéosurveillance ou de l’IA, mais au nom du service public.
La ville intelligente franchit le cap de l’innovation : elle est un progrès. Elle est exemplaire.
C’est dans cet esprit que Kawantech s’est créé fin 2011 pour penser évolution. L’entreprise aborde un long et ambitieux chemin consistant à créer une technologie de pointe qui a pour vocation d’implanter un cœur intelligent dans chaque luminaire d’éclairage public. Ce point lumineux était depuis plus de 250 ans l’assistant de nos déplacements nocturnes. Il veillait sur nous. L’ajout de capteurs et d’intelligence le font entrer dans l’ère de l’automatisation, où chaque objet sait opérer plus efficacement tout en apportant de nouveaux services. Ce luminaire modernisé rend notre ville plus éco-responsable, plus fluide et plus sécurisante.
Pour Kawantech, le challenge de l’innovation consistait surtout à penser écosystème et collaboration. L’intelligence est une co-construction avec les élus, les agents de nos villes, leurs fournisseurs historiques et surtout les riverains. Il n’y aurait pas eu de Smartphone sans que les opérateurs de téléphone ne deviennent principalement opérateurs Internet. Similairement, il n’y aura pas de réseaux de capteurs intelligents sans que les exploitants d’éclairage public n’appréhendent et opèrent ces luminaires enrichis.
L’entreprise fournit le chaînon manquant, la clef, qui rend intelligente une infrastructure passive représentant un investissement mondial historique déjà supérieur à 2 000 milliards d’euros. L’agent municipal qui changeait devant chez vous tous les 3 ans les ampoules, est désormais en charge de maintenir une infrastructure qui mutualise d’autres services pour enrichir son métier.
Une nouvelle forme de startup est nécessaire pour s’immerger dans l’évolution urbaine. Pas dans le rush et la démonstration technologique, mais dans l’ingénierie économique, sociale et technologique, et dans la compréhension. Elle acquiert au fil des ans une légitimité parce qu’elle est adoptée par la chaîne de valeur urbaine, parce qu’elle permet à ses clients d’atteindre leurs résultats, parce qu’elle valorise les autres. Cette forme de startup fait la différence entre une expérimentation Smart City et la construction d’un progrès urbain.
Une vision du progrès, pour tous, avec les autres.